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publié le dans la catégorie Nos actualités
Tous les deux retraités, Bernard et Josette Parmentier continuent de profiter pleinement de leur Goëland. Une façon de voyager qu’ils ont découvert il y a peu, et à laquelle ils ne renonceraient pour rien au monde. Originaires des Vosges du Sud, entre Gerardmer et le Ballon d’Alsace, ils sillonnent la France, ses paysages, ses cultures, sa richesse. Avec curiosité, esprit de découverte, et simplicité.
Quelles ont été vos habitudes de voyages ?
Passionnés de photos, de lecture, de musées, de randonnées, nous avions l’habitude de partir avec un maximum d’autonomie. Amoureux des paysages, de la géologie, de l’histoire des territoires, nous partions surtout l’été, en faisant du camping mobile, c’est-à-dire en voiture et en plantant la tente en divers endroits. Fin août 2013, nous nous sommes retrouvés frigorifiés dans la tente à la suite d’une nuit où il avait gelé. Cela a marqué un tournant pour nous.
Comment en êtes-vous arrivés au van aménagé ?
Nous souhaitions conserver cet esprit de découverte des villages, de rencontres, de balades, tout en gardant un côté minimaliste : avoir l’essentiel pour être bien et rester simple, avec ce côté nomade. Le van permet tout cela, et suscite plus la sympathie que le rejet (à l’inverse des gros camping-cars). À tel point que même notre attitude et notre état d’esprit ont changé. Quand nous discutons avec les gens à proximité de l’endroit où nous nous installons pour la nuit, cela permet de créer un contact, d’éviter qu’ils se demandent ce que nous venons faire, et de notre côté, nous nous sentons plus en sécurité.
« Partir à l’aventure en donnant sa chance au hasard, en choisissant juste une région de destination, en évitant les grands axes, et en s’arrêtant au gré des paysages, du patrimoine que nous croisons.«
Quelle est votre expérience avec votre premier Goëland acheté en 2014 ?
Nous avons acheté ce premier van pour de multiples raisons. C’est tout d’abord un véhicule compact, sans manipulation à faire. Il y a aussi un certain minimalisme qui offre un bel espace intérieur tout en conservant l’essentiel, contrairement à de plus gros véhicules avec finalement moins de place. Enfin, on a une vue sur l’extérieur de chaque côté. Cela nous correspond : partir à l’aventure en donnant sa chance au hasard, en choisissant juste une région de destination, en évitant les grands axes, et en s’arrêtant au gré des paysages, du patrimoine que nous croisons.
« Deux situations inattendues et paradoxales vécues dans la même journée sont un bon exemple de ce qu’offre le van, la liberté, les rencontres en toute simplicité.«
Quelques anecdotes ?
Nous avons un agréable souvenir de Meymac en Corrèze, un petit village où nous décidons de nous arrêter, pour découvrir par hasard un centre d’art contemporain magnifique. Le soir, nous nous éloignons du bourg pour passer la nuit, nous nous installons, et nous voyons arriver un groupe de gens du voyage. Comme dans un film, ils s’installent juste à côté de nous. Nous les avons salués, et s’en est suivi une agréable discussion avec le chef. La nuit s’est passée sereinement, en partageant cet espace avec nos voisins du moment. Ces deux situations inattendues et paradoxales vécues dans la même journée sont un bon exemple de ce qu’offre le van, la liberté, les rencontres en toute simplicité.
Après cette première expérience, pourquoi acheter un nouveau Goëland en 2021 ?
Le premier van était une occasion de 2010, et nous voulions revenir à un produit neuf. C’était aussi l’occasion de changer un peu de décoration. Enfin, il y a plus d’options : boîte automatique, vitres arrière isolées et ouvrantes, airbag passager, installation électrique encore plus performante… Cela va nous permettre de continuer à découvrir la France. Nous pensons d’ailleurs mettre le cap sur les côtes bretonnes pour 15 à 20 jours fin juin. Le seul regret que nous avons aujourd’hui, c’est de ne pas avoir acheté un van aménagé plus tôt.